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FACE A LA REPUBLIQUE DU PARTI DE L’ORDRE, ENNEMIE DU PEUPLE
Nous appelons à manifester le samedi 30 janvier contre l’état d’urgence et la déchéance de nationalité pour les raisons suivantes :
- les mesures d’exception que la république utilise pour soit disant renforcer la sécurité publique ne répondent pas au défi majeur que le djihadisme pose à la société française dans son ensemble qui est que des jeunes français, issus très majoritairement de l’immigration, ayant bénéficiés de ses prétendus « bienfaits » se retournent contre elle. Bien au contraire, les décisions martiales et les postures patriotiques rejettent toute réflexion et remise en causes par un déni total de responsabilité institutionnel, les terroristes étant présentés comme des individus fanatisés mais ayant fait des choix purement individuels.
Ainsi donc l’Etat ne veut pas admettre qu’il s’agit d’un fait social mais s’accroche à la vision libérale de l’individu responsable qui décide seul, librement et sur une base rationnelle, en dehors de tout déterminisme. Ce faisant, nous soulignons que le pouvoir refuse de s’interroger sur les causes profondes qui conduisent des individus à priori normaux vers la possibilité que ce choix d’ultra violence soit envisageable. Pourquoi l’auto-proclamée démocratie française génèrent elles des sociopathes qui s’orientent peu à peu vers ce mode de vie nihiliste ? combattre le terrorisme, c’est surtout comprendre collectivement ce qui cause la lutte armée, en premier lieu les rapports de dominations capitalistes et nationalistes qui hiérarchisent et structurent toute la société française. Mais cela reviendrait à questionner les bases mêmes du régime dans lequel nous vivons, ce qui est bien-sûr hors de propos pour l’oligarchie qui profite de l’ordre social. Il n’y a donc pas d’autres choix que d’imposer ce débat en donnant la parole aux décervelés qui partent en Syrie et ailleurs, à les laisser témoigner de leurs parcours, de leurs motivations et donc de leurs blessures narcissiques. C'est ce que fait, par exemple, le sociologue F. Khoroskavar dans un excellent article récent et visible ici : ignorer ce type d'analyse en dit long sur le refus de responsabilité des partis de gouvernement qui ont tous eu à gérer l'Etat depuis une trentaine d'année.
- Ces mesures sont sécuritaires, c’est-à-dire qu’elles visent exclusivement à protéger contre des dangers mortels tous les résidants ou visiteurs en France. Leur seul objectif est la sécurité et elles ignorent donc plusieurs libertés publiques fondamentales, qui ne sont de leurs points de vue que des entraves à écarter sans hésitations. En s’affranchissant totalement des pouvoirs de l’instruction judiciaire pour perquisitionner et assigner à résidence, l’Etat laisse la police restreindre arbitrairement la liberté sur la base d’une simple présomption de culpabilité, sans que celle-ci ne soit validée ou confirmée par quiconque. Alors que tous s’accordent à reconnaitre que l’arrestation de tels individus est liée à des investigations ciblées, discrètes et étroitement contrôlées par un pouvoir judiciaire démocratique, on assiste au contraire à la libération illimitée des contrôles policiers très visibles et tapant dans le tas, sur la base d’un fichage fourre-tout et aux motivations très larges. Avouons que les vrais terroristes doivent bien se marrer de constater toute cette énergie de la police équipés comme des robocops vainement dépensée à aller harceler des citoyens ordinaires, ou bien des petits caîds, et nec plus ultra des militants de l’émancipation sociale.
Lire la suite : Manifestons contre l'état d'urgence le 30 janvier !
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- Écrit par Gab
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STOP AUX BAS SALAIRES ! STOP AUX INEGALITES SALARIALES !
Grève et manifestation Fonction publique du mardi 26 janvier 2016 :
10 h 30 place des comtes du Maine au Mans.
Les propositions d’augmen- tation uniforme (en pourcentage, du point d’indice ou du type " X euros pour tous ! " ont le mérite d’être claires, mais elles avantagent les salariés les mieux payés. La CNT lutte pour des augmentations différenciées inversement proportionnelles aux salaires afin de réduire les inégalités entre travailleurs.
Revendications immédiates public ET Privé : Pourquoi diviser ?
Augmentation générale selon une échelle décroissante de 300 euros pour les salaires les moins élevés à rien pour les salaires au-dessus de 2 fois le SMIC réévalué.
Pas de salaire net inférieur à 2 000 euros.
Pas d’augmentation des salaires sans relèvement en parallèle des minima sociaux, des contrats précaires, des contrats d’apprentissage, des indemnités-chômage et des retraites.
Réunion CNT-72 : 2nd jeudi du mois 12h15-13h45 (maison des assos)
Rencontre avec le syndicat éducation : café syndical à la céfétéria de l'EVE le 4ème mardi du mois à 12 h 30 à l'université du Maine.
www.cnt-f.org. contact Le Mans-Sarthe : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Local : Maison des associations 4 rue d'arcole 72000 Le Mans - salle 10 au 3ème étage
Lire la suite : Contre les bas salaires mais aussi dans le privé !!
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- Écrit par Fernanda
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Dix ans après l’introduction de la réforme allemande Hartz IV
Par Sybille Fuchs
29 août 2012
Le 16 août 2002, un groupe d’experts dirigés par le directeur des ressources humaines de Volkswagen, Peter Hartz, présentait à la coalition gouvernementale, constituée par le Parti social-démocrate et Les Verts et menée par le chancelier Gerhard Schröder (SPD), ses propositions relatives aux réformes du marché du travail. Dix ans plus tard, la société allemande est transformée en grande partie en raison des réformes Hartz.
Une étude de l’OCDE, publiée à la fin de l’année dernière, a conclu que l’inégalité des revenus s’est accrue plus rapidement en Allemagne que dans n’importe quel autre pays membre.
Il y a dix ans, l’économie allemande était montrée du doigt et accusée de payer des salaires excessifs, d'avoir un marché du travail rigide et un système social bien trop généreux. Le problème auquel était confronté le gouvernement allemand était de trouver le moyen d'apporter des changements aux accords de travail et aux conventions sociales acquis par les travailleurs au cours des décennies précédentes sans provoquer une opposition substantielle. Le gouvernement a choisi une voie différente.
Au lieu de chercher une confrontation ouverte avec les sections bien organisées de la classe ouvrière, il a créé un marché du travail subsidiaire dominé par des salaires bas et non soumis aux droits sociaux. Telle fut la tâche de la Commission Hartz.
Lire la suite : Flexibilisation du marché du travail, l'exemple allamand
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- Écrit par Gab
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Démagogie sécuritaire mancelle : les caméras
C’est fait, le PS, avec son allié du Front National (on a ceux qu’on mérite), a voté en séance du conseil municipal du 12 novembre, l’extension du sytème de vidéosurveillance urbain, pour le moment nocturne et qui devient aussi diurne. A coup d’autosatisfaction sans preuves, d’affirmations sans éléments tangibles, de couts réels de fonctionnement dissimulés et de médiatisation de faits divers sordides habilement exploités voire mis en scène , la plus grosse minorité politique élue de la ville s’est donnée le doit d’imposer sa stratégie clientèliste en pleine campagne pour les régionales.
Voyons les pauvres arguments avancés par la minorité sociale-libérale du conseil municipal :
- les caméras sont une arme de dissuasion : rien n’est plus faux ni plus ridicule quand on constate la multiplication des incidents nocturne dans la zone vidéosurveillée dans l’espace public et dans le tramway ; Ni l’implantation des caméras ni la menace de leur utilisation n’empêchent les agressions, souvent associées à l’alcool ou à la drogue, autant qu’à la bêtise de ses auteurs. Pour preuve de cette insuffisance : le récent arrêté d’interdiction d’ouverture des points de ventes dans les épiceries, comme si les addictions ne pouvaient pas s’anticiper par des achats plus tôt, ce qui révèle une absence totale de réflexion sur les usages croissants de stupéfiants et de conduites à risques qui accompagnent très souvent les pulsions violentes.
- Les caméras sont efficaces pour la répression : là encore, personne ne dispose à ce jour du nombre d’interpellations et de condamnations par rapport au nombre de réquisitions pour visionnage effectué par la police nationale. Le fait qu’il y en ait eu quelques unes ne montre pas du tout que cela est la voie privilégiée pour confondre les coupables de vols ou d’agression. La médiatisation de ces cas rares montre bien que la municipalité cache ces données publiques. Enfin, il est clair que les malfaiteurs ne sont pas tous stupides et certains savent identifier les angles morts de ces caméras pour agir tranquillement. Et, il est très facile de dissimuler son visage et de changer de vêtements. Il faut vraiment ne pas faire attention pour se faire pincer, ce que tout le monde a bien compris, sauf les élus de droite socialistes, « ripoublicains » et frontistes.
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- Écrit par Fernanda
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La cotisation : un dangereux problème pour le capital, une solution efficace pour le salariat
http://www.reseau-salariat.info/3d02042ea4f8daa3b5dda0f837ed0971
La cotisation sociale est l'ennemie n°1 du patronat. Il le dit clairement dans les Echos du 19 juin 2012 : « Avant tout, réduire la taxation du travail pour stimuler rapidement la compétitivité des industries, enfermées dans un cycle infernal préjudiciable à l'emploi. La hausse des coûts du travail, de plus en plus taxé, ne permet pas aux entreprises de disposer de la marge financière essentielle à la montée en gamme de leurs produits, ni de maintenir leurs parts de marché grâce à des prix compétitifs. En particulier, en France, la part prise sur les charges patronales pour financer la protection sociale est élevée, alors que le consommateur est relativement peu taxé. Un transfert massif des cotisations patronales vers une assiette fiscale permettrait à la France de converger vers l'Allemagne et de sortir de cette situation sans issue en initiant le choc de compétitivité attendu. »
Après le « choc pétrolier » qui a lancé dans les années 1970 la grande contre offensive du capital, le « choc démographique » qui légitime depuis vingt ans son attaque contre les retraites, voici le « choc de compétitivité » qui fonde sa remise en cause décisive de la cotisation sociale. Une cotisation sociale attaquée aussi par le nouveau gouvernement qui veut la remplacer par un impôt, une nouvelle CSG. Face à la stratégie capitaliste, le salariat doit engager une campagne pour l'affectation de tout le PIB au salaire socialisé : nous seuls produisons la valeur, nous seuls devons en décider afin de changer le sens du travail.
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