Lemanscipé

Détails

Écrit par Gab

Catégorie parente: Articles

Créé le 28 décembre 2010

Mis à jour le 11 avril 2016

Affichages : 5234

Dominique Meda, sortait en 1998 un livre digne d'intérêt et symbole d'une époque, celle des 35 heures, la remise en cause du tout-travail dans notre vie sociale : " le travail, une valeur en voie de disparition".La revue "Sciences-Humaines" a d'ailleurs sortie dans son numéro spécial de janvier 2011, une bonne sydnthèse sur les "tribulations de la valeur travail" dont voici les paragraphes introductifs...

"Le travail, une valeur en voie de disparition": c’est ainsi que Dominique Méda titrait un ouvrage qui s’apprêtait à rencontrer à un beau succès, en cette fin des années 1990 (Aubier, 1998). La philosophe retraçait la manière dont le travail avait été élevé au pinacle des valeurs sociales, source d’enrichissement, matrice du lien social et vecteur d’épanouissement personnel. Pour Méda, il était temps de remettre les pendules à l’heure. Il fallait en finir avec cette "centralité" de la vie professionnelle, réaménager les temps sociaux au bénéfice d’autres activités, de la famille à la participation citoyenne. Fort influentes dans le contexte d’une France en crise, les idées de Méda figurèrent en bonne place parmi les inspirations des lois Aubry sur les trente-cinq heures.

On connaît la suite: la droite hexagonale accusa les socialistes de précipiter le déclin de la France"

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=r1z0O6L9bbU 

Lire la suite : Pourquoi le travail ? vidéo de Mr. Mondialisation

Détails

Écrit par James

Catégorie parente: Cultures

Créé le 20 décembre 2010

Mis à jour le 11 avril 2016

Affichages : 5456

  « Il y a une guerre des classes, c'est un fait mais c'est ma classe, la classe des riches qui mène cette guerre, et nous sommes en train de la gagner « Warren Buffet »

Lire la suite : LIVRE : Le Président des riches

Détails

Écrit par Gab

Catégorie parente: actualités politiques et sociales

Créé le 20 décembre 2010

Mis à jour le 11 avril 2016

Affichages : 6611

Pourtant inutile et couteuse, les pouvoirs publics hésitent encore au Mans à doter les rues du centre-ville de caméras de vidéo-surveillance. L'espace public sous contrôle, on connait déjà : pas de bancs (ou si peu), pas de véritables arbres pour se protéger du soleil ou de la pluie, du nettoyage illicco presto des moindres autocollants ou affichettes (avec des amendes disproportionnées et bien choisies) pour empêcher toute expression libre, un éclairage nocturne insuffisant pour accentuer le sentiment insécure, des équipes de la tranquillité publique lancées à la chasse des SDF et autres zonards initinérants... tout est déjà pourtant bien en place pour que l'hyper-centre manceau ne soit qu'un vaste espace commercial  où seul les flux d'acheteurs potentiels sont tolérés autours de l'arrêt de tram de la place de la république. Oui mais voilà, la loi LOPSSI 2 offre une manne financière pour acheter du matériel qui ne servira à rien pour la sécurité, qui va dangereusement rendre suspect chaque personne qui n'adoptera pas le comportement type du client pressé à l'endroit et à l'heure conformes,  mais tout ça rapportera gros au niveau électoral. Nos amis "socialistes" locaux y verront sans doute une bonne occasion à saisir ? Une étude de "d'opportunité" (de marché) est  en cours.  En tout cas, le 21 décembre, il y a dans quelques villes de France, une manifestation contre cette loi inique qui aura lieu. Pas au Mans.  Les bureaucrates et politicards syndicaux qui tiennent le comité anti-délation local n'y voient peut-être pas beaucoup d'intérêt pour eux-mêmes.

Refusons la domestication de nos vies, refusons la Loppsi !

Lire la suite : Vidéosurveillance : une étude en cours au Mans