mercredi 2 juin dans la grande salle de la Petite Rotonde, 20 h

(Maison des Assos, 4, rue d’Arcole)

 

 

FRANCISCO FERRER, FONDATEUR DE L’ECOLE MODERNE, RATIONALISTE ET LIBERTAIRE, ETAIT FUSILLÉ EN 1909. AUJOURD’HUI , QUE RESTE-T-IL DE SON HÉRITAGE ? 

PEUT-ON FAVORISER A L’ECOLE  UN ESPRIT DE RESISTANCE À LA FUREUR CAPITALISTE ET AUX DOGMATISMES RELIGIEUX ?

 

 

 voir ci-dessous, un résumé de l'histoire de Ferrer...

Cette réunion complète celle qui a eu lieu le 15 octobre avec : 

  1. l'historien Gilles Candar, président de la Société des études jaurésiennes, entre autres titres, qui parlera de l'affaire Ferrer en France dans le contexte social et politique de l'époque, dont il est spécialiste ;
  2. Denis Vigneron, qui enseigne au Mans, et qui a écrit une thèse sur la modernité de la création artistique espagnole au début du XXe, parlera du contexte social et politique espagnol, en évoquant tout ce mouvement éducatif multiforme qui animait les courants progressistes espagnols au début du XXe ;
  3. Gérard Boëldieu, historien manceau, qui s'intéresse à l'histoire de l'enseignement et de la vie politique en Sarthe, parlera de la rue Francisco Ferrer.
  4. Michel Sans, enseignant au Mans et militant de la CNT-AIT, parlera d'une manière plus précise des buts et méthodes de l'Ecole Moderne fondée par Ferrer.