Après pôle emploi, la caf est au bord de l’explosion. en première ligne de la pauvreté, ces organismes subissent aussi la politique anti-service public de l’etat. etat des lieux sur le mans, la réalité d’une ville industrielle en voie de précarisation que tout le monde veut dissimuler.

«  De nombreuses CAF sont totalement débordées par un afflux demandes sans précédent. Elles sont organismes vers lesquels les personnes précaires se tournent pour trouver une aide financière, Pour protester contre la dégradation des conditions de travail des agents, demander l'arrêt des suppressions de postes et des embauches en CDI, plusieurs syndicats (CGT, FO, CFE/CGC) ont lancé un appel à la grève national pour jeudi. Une mobilisation qu'ils espèrent soutenue, tant la situation est urgente. »

Les causes selon les syndicats :

-          non-remplacement d'un agent partant à la retraite sur deux, à l'origine de 1.200 suppressions de postes dans les CAF sur 2008-2012. Par ailleurs, la crise a mis les CAF en première ligne.

-          des nouvelles missions qui ont été confiées aux agents ces dernières années (RSA jeunes, gestion des impayés de loyer des bénéficiaires des aides au logement, trimestrialisation de l'allocation handicapés, le RSA Dom…).

-          une tension croissante aux accueils publics : le contexte économique sinistré fait que les relations avec les allocataires dégénèrent et les agents d'accueil en souffrent. Ils ne sont plus capables de bien faire leur travail ; L'absentéisme progressent cette année, pour les personnels de l'accueil à 15% contre 3% pour l'ensemble du personnel.

Des centaines, des milliers, des millions ?

Lutter contre les violences faites aux femmes, c'est lutter pour détruire le système qui organise la spoliation des femmes de toutes leurs ressources matérielles, affectives et spirituelles.

Pour une femme qui succombe à ses blessures, combien de blessées, de handicapées, de traumatisées, de malades chroniques ? Des centaines, des milliers, des millions ?

Pour une femme qui a le courage immense de porter plainte contre son agresseur, combien de menacées, injuriées, dénigrées, découragées, par la famille, les amis, les collègues, les policiers, les juges ?

Ici, en France, au 21ème siècle, dans un des pays les plus riches de la Terre, dans le pays le plus fier de ses lumières politiques, des femmes doivent subir un rapport prostitutionnel avec un ou plusieurs hommes pour assurer leur subsistance.

Le rapport prostitutionnel impose aux femmes de considérer le renoncement à l'inviolabilité de leur personne comme un moyen d'échange, pour avoir de l'argent, des vêtements, un toit ou de la nourriture. Il s'appuie sur cette idée encore très répandue que quand une femme n'a rien, il lui reste toujours sa sexualité à monnayer.

Le rapport prostitutionnel est une survivance esclavagiste, pratique savamment théorisée en son temps en France, seul pays au monde à avoir codifié dans le «Code Noir » le bon usage des esclaves définis alors comme « biens meubles ». Combien de femmes se sentent des biens meubles dans l'esprit d'un homme ? Des centaines, des milliers, des millions ?

La pensée esclavagiste et son imaginaire, recyclés dans le colonialisme puis le capitalisme mondialisé, ainsi que la récupération d'une « libération » sexuelle sans égalité ont débouché sur toutes le formes « modernes » et déculpabilisées d'exploitation sexuelle : industrie du SM, de la pornographie, tourisme sexuel, etc...

Le rapport prostitutionnel ne s'impose pas seulement aux femmes prostituées. Combien de femmes rendues dépendantes des hommes par les structures sociales sont aux prises quotidiennes avec ces transactions sordides : du « sexe » pour avoir ou garder son travail, pour avoir ou garder son droit au séjour, parfois juste pour avoir le droit de dormir. Des centaines, des milliers, des millions ?

A l’appel de l’Association Internationale des Travailleurs (AIT), le Syndicat Interpro Sarthe (CNT-AIT-SI72) a manifesté pour la solidarité internationale le 14 NOVEMBRE Le SI 72 a tenu un stand de presse sur la Place de la République, au centre du Mans, tout l’après-midi du 14 novembre, et pris part ensuite, en soirée, au rassemblement intersyndical sur le parvis de la Sécurité Sociale, un lieu plutôt excentré, et qui a été la seule forme de mobilisation des syndicats institutionnels, avec environ trois cents personnes. L’appel de l’AIT a été distribué dans les deux cas. Nous relayons un APPEL A BOYCOTT DES PRODUITS CANDIA, dont l’usine du Lude (72) annonce sa fermeture en 2014 et le chômage pour ses 186 employés. Cet appel a été lancé au cours de la manifestation. Nous appelons tous les syndicats de la CNT-AIT à le relayer à leur tour.

UNION LOCALE DES SYNDICATS  CNT-F DE LA SARTHEcnt-adbf2

Maison des associations, salle 10,4 rue d'Arcole 72000 LE MANS

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L' AUSTERITE C'EST LA GUERRE EN TEMPS DE PAIX !

A peine six mois après son élection, Hollande, salué par le MEDEF, met en œuvre un nouveau tour de vis à l'austérité sur nos salaires et nos conditions de vie.

Au Lude, 190 salariéEs vont être sacrifiéEs en 2014 au nom de la compétitivité. Sodiaal, qui possède Candia, a mené une politique d'acquisition et d'endettement soutenue par l'Etat ( rachat en 2010 d' Entremont très endetté). Par ailleurs, en réponse à l'irruption du lait allemand et dans la perspective de l'abandon des quotas laitiers en 2015, Sodiaal tente d'imposer des prix bas aux producteurs ( manif au Mans en septembre dernier).

La logique de la restructuration est donc de renforcer la position du groupe dans la guerre commerciale – intra-européenne !

Cette stratégie de concentration qui engloutit les deniers publics et déclenche l'enthousiasme chauvin des ministres, se fait sur le dos des salariéEs qui doivent maintenant payer par la perte de leur salaire et la ruine de leur ville.

 

 

Fin de la durée légale du temps de travail ou son allongement, transfert massif de charges de la protection sociale des entreprises vers les ménages, cadeaux fiscaux au patronat, reconnaissance idéologique de la figure « incontournable » de « l'entrepreneur », liquidation programmée de services publics comme la SNCF :.. Le grand reniement des revendications historiques du mouvement ouvrier par la droite, notamment ceux et celles qui usurpent le mot socialiste, est en marche, avec la modération complice des communistes et progressistes de parti ou de syndicat.

Au cœur du reniement : l'appropriation de la compétitivité comme grande cause nationale alors qu'il ne s'agit que d'une préoccupation et d'un vocabulaire de capitaliste.

La classe capitaliste a réussi une nouvelle fois à imposer ses enjeux et ses revendications comme étant essentiels pour tous et toutes. Tous les médias, tous les partis, tous les travailleurs se sentent concernés par cette nouvelle grande cause nationale : la compétitivité. Mais en quoi cela est-il si important pour notre avenir ? La compétitivité est un terme ambivalent et comme toujours en communication on joue sur les doubles sens pour faire passer un message. Chacun comprend d'instinct qu'être compétitif, c'est simplement être en capacité de faire au moins aussi bien que les autres dans une situation de concurrence. Et personne n'imagine ou ne souhaite effectivement se retrouvé dans une telle situation quand on projette cela sur soi-même.

Mais dans le domaine macro-économique, l'obsession se traduit  et se mesure surtout par la capacité à vendre durablement  le plus possible des biens ou des services sur n'importe quel marché. Autrement dit, ce qui est véritablement en jeu, c'est la variation du chiffre d'affaire des entreprises françaises, le fait qu'elles reculent en part de marché et rapportent moins d'argent à leurs propriétaires.  Ce tableau ci-dessous, confirmé par les chiffres 2010 récents, illustre le souci des capitalistes : malgré des couts salariaux stabilisés et diminués depuis 1990 à 66% de la valeur ajoutée, le taux de marges a plongé de 32 % à 27 % depuis 2007.

Avant la nouvelle journée de mobilisation nationale du samedi 6 novembre, les syndicats CGT de la zone industrielle sud vous donnent rendez vous pour une nouvelle initiative.

Mercredi 3 novembre 2010 à 4h00 du matin sur le parking du SUPER U de Changé

 Pour s’opposer à l’application de la loi réformant les retraites et réussir les actions engagées, chaque syndicat invite les salariés de son entreprise à s’investir un maximum soit par la grève, soit sur leur temps personnel.

Désormais, comme à l’époque du CPE, il nous faut maintenir la pression par toutes les formes d’actions envisageables !

 

 

 

SNJ Ouest-France:

Comment Ouest-France manipule l’information



comlme nous l'avions déjà relévé et dénoncé sur ce site, la presse quotidienne régionale est aux ordres du patronat et de l'Etat : la preuve avec cette protestation offcielle de journalistes locaux. Encore une fois, dénonçons ces chiffres ridicules du nombre de manifestants au Mans, proclamés comme des évidence par un journal qui n'a pas les moyens de ses ambitions.

Ce 25 octobre, les syndicalistes de la section Ouest-France du Syndicat national des journalistes (SNJ) ont publié un tract dans lequel ils dénoncent la « ligne idéologique à sens unique » de leur journal.
Ils déplorent que le projet gouvernemental de réforme des retraites soit présenté « comme une évidence qui doit s’imposer à tout esprit sain et
raisonnable » ; tandis que la contestation est qualifiée d’« irresponsabilité coupable au regard des générations futures » ; et sa radicalisation accusée de mettre « en péril l’équilibre économique » et de saper « les fondements de notre démocratie ».

MARDI 16 NOVEMBRE !

Après s'ête fait un petit film série B au festival seconde zone, avoir bloqué la ZIS et partagé 3 kro et deux merguez avec la CGT total sur le dépôt pétrolier, rien ne vaut un petit concert de punks, non ? comme le dit la CFDT et son grand chreq on respecte "les biens et les personnes", alors venez vous décrasser les oreilles...

 ci-dessous, nous publions le communiqué du congrès d'Alternative Libertaire qui se tenait ce week-end de Toussaint à Angers (49) Le regard porté par le parti politique communiste libertaire français semble se nourrir de l'implication importante de ses militants dans diverses organisations syndicales pendant la lutte; ce qui lui donne un relief et un intérêt particulier.  Beaucoup de remarques rejoignent des points de vues développés sur ce site, à l'exception d'un questionnement stratégique fondamental que le mouvement libertaire  ou conseilliste français dans son ensemble refuse d'aborder et de remettre en cause : l'éparpillement des forces du syndicalisme de lutte dans de nombreuses confédérations, au nom d'une recherche de proximité avec les classes "fondamentales". Si ce mouvement montre effectivement la déroute et l'échec complet du syndicalisme de négociation et de dialogue social, il illustre aussi, comme le dit AL, la faiblesse chronique de courants syndicaux axés sur l'action directe et l'auto-organisation, trop peu capables de peser sur les évènements. Or, à ce sujet, aucune organisation politique n'analyse sincèrement le bilan de l'éparpillement des forces de ce courant : comment pourrions nous en espérer une efficacité quand il y a une telle division ? Comment penser que ce courant puisse se retrouver spontanément et s'unir ponctuellement dans l'action dans des mouvements comme celui que nous venons de vivre ? Comment, enfin, imaginer un seul instant que les militants aux prises avec le centralisme et le réformisme de leurs propres confédérations puissent bénéficier de suffisamment de liberté et de soutien en interne pour s'engager dans cette voie ? La constitution d'un front syndical syndicaliste révolutionnaire ou de lutte de classe est donc indispensable et s'appuiera notamment sur le rassemblement de  la majorité des forces militantes éparpillées dans des organisations ouvertement favorables à ces tendances : Solidaires, et surtout la CNT.

 

"Le Xe Congrès d’AL se déroule au cœur d’un mouvement social d’ampleur contre le projet de loi sur les retraites. Il est encore trop tôt pour se prononcer sur l’issue de cette lutte, mais une chose est sûre : celle-ci va laisser des traces dans le mouvement social français. "

 

 

article paru le 27/11/09 Lutte ouvrière hebdo revient sur le conflit des labos d'analyse manceaux et du "pôle santé Sud" qui n'est ni plus ni moins qu'un hôpital privé financé par les contribuables. Rappelons que cet établissement est "victime" de rumeurs persistantes sur des pratiques honteuses de dépassements d'honoraires prohibitifs voire de chantages indécents sur les tarifs de certaines interventions. Alors les travailleurs et les usagers sont-ils les dindons de la farce ? Au moment où l'hôpital public manceau, malgré des bons résultats (dans les 50 meilleurs de France) et sa très grande taille, est constamment sous-doté parce qu'il n'est pas universitaire et qu'il faut appliquer une tarification à l'activité qui, justemment, conduit à des situations décrites dans cet article de L.O. Plus que jamais, les besoins des personnes et des territoires ne sont pas les bases du service public actuel.

 

 

A l'appel de la FSu, rejoints par la CGT et Sud, un mouvement de grève se déroule mardi 24/11. Au programme au Mans, théoriquement, blocus, manifestation et Ag des personnels : rendez-vous à 9 h 30 à la maison des associations 4 rue d'Arcole. Sur le campus universitaire, les étudiants et le personnel de l'IUFM se retrouveront dès 08 h 30 devant l'IUFM (UFR de Lettres Sciences Humaines) Bien que non conviée, la fédération des travailleurs de l'Education de la CNT se joindra au mouvement. Son communiqué nationale ci-dessous livre sa position.

C'est une grande semaine citoyenne et festive qui s'annonce au Mans : " la nouvelle prison sera inaugurée en grandes pompes, samedi matin, par le Premier ministre et la garde des Sceaux. François Fillon et Michèle Alliot-Marie sont annoncés à Coulaines, dans le courant de la matinée. L'administration pénitentiaire s'est vu remettre les clés de cette prison dernière génération de 400 places début septembre. Le transfert des prisonniers, qui viendront notamment des maisons d'arrêt du Mans et d'Alençon, avant leurs fermetures, interviendra en janvier." et puis le 26 Novembre, la Ville du Mans organise un débat sur la vidéo-surveillance à l'occasion de son conseil municipal et de  l'oportunité financière du plan d'Alliot-Marie qui consiste à équiper massivement les villes de ces caméras. Parions que la lâcheté habituelle de la gauche locale aboutira à un "compromis" entre ambitions électoralistes et craintes d'une contestation plus radicale jettant du discrédit sur le vernis "progressiste" de la municipalité.

 A ce propos, nous réitérons notre analyse : la réalité est perçue par le prisme déformant et partisan des manipulations de chiffres sur la délinquance. Un vrai diagnostic de la sûreté urbaine est nécessaire et certainement pas en plaçant sur le même plan des bastons de poivrots  et des actes beaucoup plus graves contre lesquels les politiques se taisent. Enfin et surtout, la gauche se révèle d'une indigence complète quant à sa position sur la politique carcérale. Personne n'ose remettre en cause l'existence des prisons ou même commencer à en débattre alors que l'enfermement et la criminalisation du peuple est la réponse majeure du gouvernement et des capitalistes à la crise économique et sociale. Quand on ferme des usines, on ouvre de prisons. Nous reproduisons donc ci-dessous un texte publié en 2004 par la revue critique d'écologie politique à propros de "Surveiller et Punir" de Foucault, un des ouvrages théoriques majeurs sur l'incarcération.

 

Dernier point : que nos lecteurs flics ou réactionnaires se ne réjouissent pas trop vite. Nous ne sommes pas assez stupides pour aller manifester samedi matin contre la prison des Croisettes. Se faire cogner et expédier en villégiature et visite express dans  la nouvelle prison ne sert à rien. Rejoindre les prisonniers politiques arrêtés à Poitiers, coupables de contestation de l'incarcération et c'est tout, n'a aucun intérêt. Le combat est idéologique et culturelle et c'est sur ce terrain que nous vaincrons.


 

d.t.cPour les gens qui n'aiment pas perdre, on vous propose encore mieux que le dopage : la tricherie pure et simple !
Si vous voulez vous entraîner et pêter les scores en matière de faux doublage le 13 novembre, DTC vous fournit en exclusivité les scènes qu'on prévoit de diffuser sans le son.
C'est pas exceptionnel, ça ? dévoiler en exclusivité sa propre prog' ? Bref, si vous avez peur d'improviser, que vous êtes mauvais joueur, ou simplement que vous voulez rigoler avec des copains (et des copines !), n'hésitez pas à nous le demander par mail.

http://d.t.c.over-blog.net/

Les prochains concerts organisés à la Péniche l'Excelsior à Allonnes par Tendresse et Passions association.

la Chambre Régionale de l’Économie Sociale des Pays de la Loire coordonne en novembre, pour la deuxième année consécutive, le Mois de l’Économie Sociale et Solidaire. Cet événement se déroule dans toutes les régions de France et regroupe des manifestations représentatives de la richesse et du dynamisme de l’Économie Sociale et Solidaire. En Sarthe, quelques évènements ont lieu afin de présenter des soutions pour produire, consommer autrement. Même s'il faut rester très prudent sur les capacités des sociétés coopératives à résister à la logique capitaliste et sur leur rôle émancipateur pour les travailleurs (voir l'analyse des Alternatifs à ce sujet sur ce site ici), leur potentiel de libération et d'automonie mérite largement de s'y intéresser. Ne vaut-il pas mieux tenter une aventure collective et se prendre en main plutôt que de subir le patronat ou d'aller quémander des miettes auprès de l'Etat afin de survivre ? En Sarthe, Terrabita est une SCOP dans le domaine de l'habitat écologique qui a choisi cette démarche, notamment en soutenant les autoconstructeurs. Site internet : www.terabita.com

 

 

Le Front de lutte pour l'Education appelle à manifester à 14 H au Mans, au départ du palais des congrès. Le communiqué ci-dessous est national :

Les syndicats enseignants dénoncent le nouvel IUFM comme un moyen de faire des économies sur le dos de la qualité du service public et ils ont raison sur un point : la réduction à peau de chagrin des mises en situation n'est certainement pas une bonne chose pour les futurs élèves des stagiaires en formation. Là où il ya un problème mise de côté, c'est de présenter le contenu et els méthodes éducatives actuelles comme la panacée de la qualité. Un IUFM ne garantit pas le respect de l'enfance. L'idéologie dogmatique de l'évaluation à tout prix est plus que jamais à l'ordre du jour et appliquée massivement sans états d'âme ni discussion de fonds. Ce qui est inquiétant, c'est que les enfants semblent de plus en plus stressés, fatigués et tristes à l'école et que beaucoup de parents et enseignants n'y trouvent rien à redire. L'enfant d'aujourd'hui est  soumis très jeune à un faisceau de contradictions paroxysmiques voire schizôphrènes, devant adapter son comportement par séquences entre d'un côté l'autonomie obligée et aberrante  hors de l'école afin de consommer toujours plus pour délester des parents égocentrés et de l'autre, la soumission radicale dans le cadre scolaire à la hiérarchie induite par une froide évaluation, omniprésente et sélective socialement.  La liberté tant que ça rapporte et l'intériorisation forcée de la hiérarchie pour la paix sociale de demain.  Plus que jamais, les tendances mortifères actuelles en seront renforcées  : la liberté n'est que pour le supermarché. Mais l'enfant ressent l'abandon affectif partout, ce qui pose de plus en plus de problèmes comportementaux.

La critique des programmes éducatifs est donc également plus que jamais nécessaire.   Le court texte du syndicat CNT de l'education de paris en donne une illustration.

 

A lire également, cet article sur le Basta !  : Le management par le stress envahit aussi l’école

 

Parrainage 10 novembre 17h15 maison pour tous Jean Moulin

arrêt tram : Glonnières-centre sud

Une famille dont les enfants sont scolarisés en collège sera parrainée le mardi 10 novembre

 à 17h15 maison pour Tous Jean Moulin

communiqué FSU Sarthe

Vignette pour la version du 31 juillet 2005 à 11:20La FSU appelle à une journée de grève et de manifestations dans l’éducation et la recherche le mardi 24 novembre. Au Mans, les étudiants et personnels de l'IUFM ont adopté une position de principe à lire ci-dessous.